J'ai déssiné et peint en m'imprégnant de l'atmosphère du Cabaret " Le Cheval d'Or", que je n'ai pourtant pas connu.
Je me suis plongée dans l'univers de Pierre Étaix, des cabarets de cette époque, des formes et des métissages colorés des années 50. Ces moments d'après guerre où il fallait digérer. Comme si on savait déjà que ce ne serait qu'un répit dans la déferlante des conflits qui allaient se succéder. Entre l'apparence, les masques, la joie de la liberté retrouvée, on entrait dans l'autre "modernité".